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Un colloque est d’ores et déjà annoncé le lundi 12 septembre 2022 au CFJM dans le prolongement de la rencontre qui s’est déroulée le lundi 2 mai dernier.
Plus d’informations seront communiquées au courant de l’été.
Quiconque diffuse des films et des séries en Suisse via des plateformes de streaming très rentables doit également investir en Suisse : C’est le sens de la nouvelle loi sur le cinéma, déjà adoptée par le Conseil national et le Conseil des Etats.
Aujourd’hui déjà, les chaînes de télévision suisses sont tenues d’investir 4% de leurs recettes dans des films et des séries suisses. A l’avenir, les plateformes de streaming internationales devront également investir en Suisse.
Les pays voisins de la Suisse ont déjà fixé dans leur législation des obligations d’investissement pour les plateformes de streaming. L’Italie, par exemple, exige un investissement de 20 pour cent, la France jusqu’à 26 pour cent du chiffre d’affaires. Ainsi, les 4 % d’investissement obligatoire en Suisse sont plus que modérés.
La Suisse doit rester compétitive dans le domaine du cinéma, afin que le tourisme et l’économie soient également renforcés. Si les fournisseurs de streaming investissent au moins une petite partie de leurs revenus ici, cela profite à l’ensemble de l’économie suisse.
Pas un refus de principe mais une lacune technique
L’association Médias Pour Tous interprète le résultat de la votation non comme un refus de principe par le peuple d’une aide aux médias privés mais comme une lacune technique de certaines des mesures proposées. Les partisans d’une telle aide se sont retrouvés en effet de part et d’autres des deux camps, certains p.ex. étant rebutés par la dépendance que pourrait entraîner une aide fédérale directe aux nouveaux médias électroniques.
Selon MPT, il y avait donc une pièce manquante dans l’édifice proposé, qui a mis en péril tout le train de mesures. La politique fédérale ne peut pas se permettre de proposer des aides aux médias privés, imprimés et électroniques, sans que des mécanismes de filtrage ne garantissent l’étanchéité la plus complète entre d’une part la collectivité donatrice et d’autre part les journalistes et les éditeurs bénéficiaires de cette aide (toujours plus nécessaire pour compenser la petitesse de nos trois marchés culturels en période de diminution de la publicité qui les finançait majoritairement auparavant).